N°81
édition du 11 octobre 2013
Premier événement d’envergure organisé depuis la création du réseau des alumni de l’Université de Strasbourg en 2012, les « Journées Alumni » se déroulent du 22 au 24 novembre prochain. Trois jours de rencontres, conférences, tables-rondes, visites, échanges, temps conviviaux, pour « incarner » le réseau et se faire des souvenirs communs. Un programme à la carte où chacun peut trouver son compte : alors, inscrivez-vous et faites passer le message !
Sur trois journées du 22 au 24 novembre prochain, le Service relations Alumni (SRA) a organisé, impulsé ou intégré plus de 70 événements différents pour susciter l’intérêt de ses participants. Du temps fort dans une composante, à la très officielle soirée de gala dans les salons de l’hôtel de ville de Strasbourg, en passant par une myriade de conférences, débats, rencontres professionnelles, visites de laboratoires, d’équipements culturels dans l’université, mais aussi dans Strasbourg. Un moment d’exception pour marquer les premiers « alumni days » de l’Université de Strasbourg dont le réseau est encore jeune (octobre 2012), et un foisonnement qui est bien à l’image de l’université elle-même. « On trouve dans cette offre de quoi se construire une participation personnalisée aux journées, explique Agnès Villanueva, responsable du SRA. Symboliquement, c’est un moment fort, dont la richesse et l’intérêt devrait pousser un maximum de personnes à entrer dans le réseau. En tous cas, nous l’espérons. »
S’inscrire aux journées et aux événements contingentés
Les journées sont ouvertes à tous les alumni, membres inscrits dans le réseau et personnels de l’université. Tous peuvent déjà s’inscrire via le site des alumni, qui a fait peau neuve pour l’occasion. L’inscription en ligne permet de réserver certains événements à capacité d’accueil limité. Les conférences, tables-rondes et colloques sont ouvertes au grand public et aux étudiants.
Ces journées seront également l’occasion de lancer l’opération de parrainage porté par le SRA. « Il offrira la possibilité d’ouvrir toutes sortes de parrainages en cours d’études ou tout au long de la carrière : entre alumni, entre un alumni interne ou externe à l’université et un étudiant, entre étudiants d’une composante à l’autre. Je me dis notamment que les personnels administratifs de l’université, qui ne sont pas forcément en contact avec des étudiants, peuvent trouver un réel intérêt à cette démarche qui valorise leur expertise métier », précise Agnès Villanueva qui espère que cette opération générera une dynamique importante dans le réseau.
De manière générale, le SRA compte sur une implication grandissante des personnels de l’université pour faire vivre le réseau, faire passer le message (le réseau existe, inscrivez-vous), ou offrir ponctuellement ses services, par exemple en s’investissant dans l’encadrement des Journées Alumni. « Nous sommes quand-même les premiers ambassadeurs de l’université », conclut Agnès Villanueva.
C.L.
Rechercher par mots clés, auteur, titre, sur les pages du site, sur les diplômes, ou parmi les actualités du site, telles sont les nouveautés du moteur de recherche mis à jour sur unistra.fr. Il propose également une fonctionnalité d’auto-complétion, c’est-à-dire en fonction des premières lettres saisies dans le champ « recherche », le moteur complète de lui-même le ou les mots qu’il est possible de former à partir de ces lettres.
Le besoin pour unistra.fr d'un moteur de recherche capable de trier les requêtes en fonction de la pertinence des résultats s’est exprimé fortement tout au long des réunions qui ont abouti à la création du nouveau portail.
Cet outil a la particularité de rechercher dans les pages et les actualités du site de l'université, mais aussi dans les fiches diplômes générées par l'application « Profetes ».
Ce projet, mis en place avec les services de la Direction informatique et de la Direction des usages du numérique, a été piloté par le Service de la communication. L'université a fait appel à la société de service informatique AMEOS pour l'installation et le paramétrage de l'outil du nom de SolR (Solr est une plateforme logicielle de recherche s'appuyant sur le moteur de recherche Lucene, créé par la Fondation Apache et distribuée et conçue sous licence libre).
À découvrir sur unistra.fr
Isabelle Barth et Isabelle Kraus font partie des six femmes sélectionnées pour le trophée LCL "Des femmes qui font bouger la région". Une seule candidate sera élue par les lecteurs des DNA alors n'hésitez pas à voter !
Deux femmes de l'Université de Strasbourg, Isabelle Barth et Isabelle Kraus, ont été sélectionnées par un jury composé de membres des DNA et du Crédit lyonnais pour le trophée LCL "Des femmes qui font bouger la région". Ce trophée récompensera une femme dont l'action est significative et qui fait bouger la région à travers son activité professionnelle, son parcours professionnel, son talent ou sa générosité.
Isabelle Barth, professeure des universités en sciences de gestion, est directrice générale de l’EM Strasbourg Business School depuis mai 2011. Elle a passé dix ans en entreprise à des postes de développement commercial avant de construire sa carrière universitaire. Ses travaux de recherche actuels s’organisent autour de trois thématiques : la vente, le management de la diversité et les comportements émergents de consommation, en mobilisant l’interdisciplinarité.
Isabelle Kraus est enseignante-chercheure en physique et chimie à l’Université de Strasbourg. Chargée de mission égalités-diversité depuis avril 2009, elle agit pour promouvoir l'égalité des traitements et lutter contre toute forme de discrimination concernant les personnels de l'Université de Strasbourg.
Les six candidates seront présentées à travers un portrait à paraître dans les DNA entre le 16 et le 20 octobre 2013. Une seule d'entre elles sera élue par les lecteurs des DNA (vote jusqu'au 6 novembre) et se verra remettre un chèque par LCL dont elle fera bénéficier l'association de son choix. Alors n'hésitez pas à soutenir nos deux ambassadrices de l'Université de Strasbourg ! Verdict le 21 novembre lors de la remise des prix.
À l’occasion du 150e anniversaire des relations Alsace-Japon, la Maison universitaire France-Japon (MUFJ) de Strasbourg organise une semaine japonaise du 14 au 20 octobre 2013. Objectif : faire connaître les nombreuses facettes de la culture nipponne à la communauté universitaire et aux Alsaciens en général.
Projections de films, exposition de photographies, de haiga ou encore de cartes postales, démonstrations d’arts traditionnels japonais sont au programme de cette semaine ouverte à tous et organisée en partenariat avec le Centre européen d’études japonaises d’Alsace (CEEJA), le Consulat général du Japon de Strasbourg et la Maison de la culture du Japon à Paris.
L’un des temps forts sera notamment la projection, au cinéma l’Odyssée, du film Mille cercueils, inédit en France, sur la catastrophe de Fukushima. Un volet plus académique proposera deux conférences plus spécialisées, l’une sur la sociologie japonaise et l’autre sur l’innovation au Japon ainsi que des journées d’étude sur la tradition dans le cinéma japonais.
Depuis sa création en 2001, la Maison universitaire France-Japon a pour objectif de développer et de renforcer les liens en matière d’enseignement et de recherche entre les universités et les organismes de recherche français et leurs homologues japonais. Elle accueille les étudiants et les chercheurs nippons, renseigne et oriente les personnes intéressées pour partir en mobilité au Japon, informe les acteurs de la coopération universitaire et aide à la coordination des échanges. La promotion de ces liens passe également par l’organisation de colloques, événements, expositions, etc., portant sur le Japon.
René Humbert connaît bien la validation des acquis de l'expérience (VAE). Titulaire d'un CAP à l'origine, il a eu recours à ce dispositif pour obtenir un bac pro et une licence pro. Un bel exemple de réussite.
« J'ai 45 ans et je viens d'avoir une licence professionnelle, c'est une grande fierté », confie aujourd'hui René Humbert. Issu d'une famille ouvrière, rien ne le prédestinait à obtenir un tel niveau de diplôme, et pourtant... Après un CAP Boulanger – pâtissier – confiseur, René décide de quitter le domaine de l'alimentation pour entrer à l'usine. Il fait ses premiers pas chez un producteur français de tubes d'acier en tant que préparateur tuyauteur jusqu'au rachat de l'entreprise. Il rentre alors dans une société de fabrication de matériel électrique. Après quelques mois de production, il passe mécanicien d'entretien et gravi les échelons jusqu'à devenir technicien de maintenance. Mais une fois encore, son entreprise est rachetée et il est reclassé au sein de l'unité de production du groupe industriel allemand, « tout en bas de l'échelle comme agent de maintenance » se souvient René.
En quête de reconnaissance
Pourtant en 2005, il est intégré au projet d'activités avec la Pologne : « Lorsqu'un nouveau produit était conçu et optimisé en France, j'étais chargé de faire le transfert d'activités en Pologne ; c'était un vrai travail de technicien mais je n'étais ni reconnu ni rémunéré en tant que tel car je n'avais pas de diplôme. »
C'est à ce moment-là que René découvre la validation des acquis de l'expérience, lors d'une présentation du dispositif organisée par le Greta Nord-Alsace dans un lycée de Haguenau. La VAE permet l'obtention de tout ou partie d'une certification sur la base d'une expérience professionnelle salariée, non salariée ou bénévole d’une durée d’au moins trois ans en rapport avec la certification. René décide alors de se lancer et obtient, en 2006, un bac pro Maintenance des systèmes mécaniques automatisés. « J'ai obtenu le statut de technicien un an plus tard dans mon entreprise alors que mon employeur me demandait un vrai travail d'ingénieur, encore une fois sans rien derrière », explique René Humbert. Et cette fois-ci, René ne l'a pas supporté et a préféré quitté son travail pour sauvegarder sa santé.
Apprendre la théorie d'un métier
« Au chômage, j'ai tapé à plusieurs portes pour savoir ce que je pouvais faire de mes compétences. Mon ancien binôme m'avait parlé de la VAE à l'Université de Strasbourg et de la licence professionnelle Contrôle industriel et maintenance des installations. De moi-même, je n'aurais jamais osé m'adresser à l'université car je pensais que le niveau était trop haut. »
Pourtant, les conseillers du service VAE de l'université l'ont encouragé à monter un dossier pour obtenir cette licence. Pendant neuf mois, René s'est familiarisé, à force de recherches sur internet et dans les bibliothèques, avec la théorie de son métier appris sur le tas. « J'ai failli baisser les bras plusieurs fois par manque de confiance en moi mais au service VAE, il y a vraiment une équipe formidable qui m'a poussé à toujours donner le meilleur de moi-même et qui m'a aidé à me reconstruire ! »
Aujourd'hui, René a retrouvé du travail. Il est technicien méthodes et ordonnancement maintenance. « Avec ma licence pro, je suis le plus diplômé de toute l'usine après le directeur », confie-t-il. Il avoue pourtant poursuivre sa recherche d'emploi pour trouver un poste de responsable de maintenance pour diriger une équipe, partager ses acquis et surtout montrer qu' « apprendre n'est pas réservé à une élite ».
Floriane Andrey
À l’occasion du 70e anniversaire des rafles de 1943 survenues à l’Université de Strasbourg alors repliée à Clermont-Ferrand, divers événements seront organisés de mi-octobre au 25 novembre 2013 pour commémorer cette date.
Un mois de commémoration, des événements inédits : cette année, l’Université de Strasbourg célèbre le 70e anniversaire des rafles de 1943. « Nous avons souhaité marquer le coup car les témoins de ces événements célébreront certainement une de leur dernière cérémonie de commémoration à cette occasion », expliquent les porteurs du projet.
Pour la première fois, François Amoudruz, représentant des déportés, quelques personnes de l’Université de Strasbourg et de celle de Clermont-Ferrand se rendront, les 13 et 14 octobre, à Buchenwald, où furent conduites certaines victimes des rafles. Tous les campus strasbourgeois donneront un visage aux témoins de cette période, à partir du 21 octobre, pour informer la communauté universitaire - personnels et étudiants - sur ce chapitre méconnu de l’histoire de l’Université de Strasbourg.
Cette année, la commémoration s’ouvre aussi au grand public avec l’organisation d’une table ronde la deuxième semaine de novembre (date à définir) au cinéma Odyssée pour faire le parallèle entre un jeune de 1943 et un de 2013. Des projections du film L'Université résistante sont également prévues cette semaine-là. Tous les campus seront associés via diverses composantes et Barcha Bauer, le réalisateur, sera présent le 12 novembre à Strasbourg.
Une cérémonie d’hommage à la mémoire des universitaires et étudiants victimes des rafles de 1943 sera organisée lundi 25 novembre et marquera la fin de ce temps de commémoration.
Programme détaillé à venir dans L’Actu du 8 novembre 2013.
Ce numéro de l'émission mensuelle de l'actualité culturelle, événementielle et institutionnelle de l'Université de Strasbourg est dédié au numérique et notamment au nouveau portail de l'Université. ActUtv accueille aussi des étudiants du Centre universitaire d'enseignement du journalisme pour nous parler de webdoc, puis un tour par le Festival La Zone, et enfin le programme des ateliers découverte du Centre de culture numérique.
Le rassemblement annuel des utilisateurs du langage de programmation Python se tiendra pour la première fois cette année à Strasbourg du 26 au 29 octobre 2013. Cet événement, sponsorisé par la Direction informatique, sera hébergé par le Centre de culture numérique de l'Université de Strasbourg, à l'Atrium.
Le langage Python est un langage fortement utilisé par la Direction informatique, mais également par la communauté scientifique strasbourgeoise. Organisé par l'Association francophone Python (AFPy), PyconFR est une conférence gratuite et libre d'accès qui rassemble chaque année l'ensemble de la communauté francophone utilisant et développant dans le langage Python, un langage de programmation sous licence libre. Elle est intégralement organisée par des bénévoles et accueille durant quatre jours plus de 200 développeurs venant de France et d'ailleurs.
L’événement a lieu à l'Atrium et est découpé en deux parties distinctes :
Contact : Direction informatique - 14 rue René-Descartes - 67000 Strasbourg - site web
Vous organisez des réunions, conférences, colloques, séminaires, inaugurations ? Vous souhaitez consacrer plus de temps à vos invités tout en étant servi agréablement lors de vos réceptions ? Pensez aux étudiants du service Réception de l’Université de Strasbourg.
Le service Réception étudiant est une équipe d’étudiants qui se charge de la mise en place, du service et du rangement lors des réceptions et manifestations organisées par les services, composantes et laboratoires de l’Université de Strasbourg. Les étudiants sont recrutés par le Service de la vie universitaire (SVU) et rémunérés sous forme de vacations par le commanditaire.
Le SVU se charge de trouver, dans l’équipe, des étudiants disponibles à la date souhaitée, puis s’occupe de la gestion des fiches de paiement des vacataires ayant assuré le service.
Pour faire appel au service Réception étudiant, il suffit de contacter le SVU au 03 68 85 63 73 / 74 ou par courriel, de remplir le bon de réservation qui vous sera envoyé et de le faire parvenir au SVU au plus tard 15 jours avant la manifestation.
Chercheurs, enseignant-chercheurs, testez plus de 70 ressources électroniques jusqu’au 31 octobre et donnez votre avis !
Dans le cadre du projet national Istex*, le Service commun de la documentation (SCD) invite les chercheurs et enseignants-chercheurs à tester et donner leur avis sur plus de 70 ressources électroniques proposées dans toutes les disciplines par de grands éditeurs tels que Wiley, Elsevier, Springer, Sage, Emerald, Karger, etc. Les ressources accessibles en test sont des e-books, des encyclopédies en ligne, des bases de données et non des archives de revues en ligne pour lesquelles les besoins de la communauté scientifique française ont déjà été recensés.
Pour ce faire, rendez-vous jusqu’au 31 octobre 2013 sur le site du projet Istex afin d’accéder aux ressources, d’en tester le contenu et les fonctionnalités, puis de répondre à l’enquête. Ce grand test vise à sélectionner des ressources utiles aux chercheurs et enseignants-chercheurs en vue d’une acquisition et d’une mise à disposition nationales. Les avis récoltés permettront de juger à la fois de l’intérêt scientifique des ressources mais aussi de leur utilité pour les communautés de recherche françaises.
L'Initiative d'excellence (Idex) lance son premier appel d'offres Écoles d'été 2014 destiné aux composantes de l’Université de Strasbourg.
Elle vise à promouvoir l'enseignement supérieur de l’Université de Strasbourg, en soutenant des formations intensives initiant à la recherche et témoignant de son ouverture internationale. La date limite de dépôt des dossiers est fixée au vendredi 18 octobre 2013. Ainsi, les écoles d'été (IdEx) et les colloques (commission Recherche) 2014 seront évalués en même temps par les collegiums.
| 10/2013 | 11/2013 | 12/2013 | |
|---|---|---|---|
| <strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14 h - Mardi | 15 | / | 17 |
| <strong>Commission de la formation et de la vie universitaire - ex-Cévu</strong> 14 h - Mardi | / | 26 | / |
| <strong>Commission de la recherche - ex-CS</strong> 14 h 30 - Mercredi | / | 6 | 11 |
| <strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14 h 30 - Mardi | / | 19 | 10 |
Reconnaissance académique de la recherche en 2013
3 prix Nobel mais aussi...
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mercredi 6 novembre midi pour une parution le vendredi 8 novembre 2013. Consultez les dates des prochains numéros.
